Je voudrais insister sur la nécessité de préserver par-dessus tout – et même de sanctuariser – les activités sportives. Elles sont salutaires pour les enfants, mais aussi pour les adultes et pour nombre de publics. J'ai eu l'occasion de produire un rapport parlementaire avec ma collègue Maud Petit, dans lequel est mis en avant le concept de « sporticament », qui doit retenir toute notre attention. La pratique du sport, c'est la meilleure défense immunitaire contre beaucoup de maladies, et notamment la covid-19.
Il aurait donc été contradictoire de mettre en avant la volonté de mener des politiques publiques pour préserver la santé et en même temps de restreindre l'accès aux lieux de pratique sportive. C'est mon point de vue et je défends et soutiens par conséquent tous les amendements et toutes les prises de position en ce sens.