Je ne voudrais pas laisser croire, président Chassaigne, que nous ne vous avons pas répondu. Je peux donc redire ce que j'ai déjà précisé dans mon intervention liminaire. J'ai indiqué que je voulais rassurer les parlementaires qui nous avaient sollicités sur le sujet spécifique des agriculteurs. Le projet de loi ne remet pas en question les spécificités de leur activité – j'ai par exemple en tête la question du traitement des dettes –, ni les exceptions dont ils bénéficient avec l'EIRL – nous aurons l'occasion d'y revenir d'ici quelques minutes. Président Chassaigne, je crois que nous sommes parés pour un bon débat constructif !