Je vais vous décevoir, président Chassaigne, parce que l'avis est défavorable. Le texte ne change rien à la situation actuelle pour les associés exploitants. Même s'ils ont des dettes professionnelles, comme des cotisations à la Mutualité sociale agricole (MSA), des dotations jeune agriculteur (DJA) ou autres, ils restent dans leur statut d'associé et ne peuvent donc avoir qu'une procédure de surendettement et non une procédure collective.