Je profite de cette occasion pour rappeler notre opposition à la situation faite aux travailleuses et travailleurs des plateformes. Le Gouvernement se trouve sur ce sujet en porte-à-faux avec la Commission européenne, puisque celle-ci défend aujourd'hui la présomption de salariat. Une fois n'est pas coutume, nous sommes aux côtés de la Commission. C'est une bataille qui a été menée par nombre de nos collègues – je pense à Leïla Chaibi, mais aussi à d'autres appartenant à la majorité présidentielle.
Vous refusez là un progrès social qui a lieu dans d'autres pays. Vos propositions sont loin d'être suffisantes. Nous souhaiterions, nous, aller vers le progrès social – mais je comprends bien que vous préférez la réaction.