Avec votre permission, monsieur le président, je défendrai également les amendements n° 322 , 334 et 327 .
Sans aller jusqu'à nous invectiver, nous devons pouvoir discuter de ce texte important. Souffrez même que l'on puisse s'opposer, car c'est notre rôle, sur ces bancs, que d'exercer une opposition. Cela dit, il ne s'agit pas seulement ici d'être d'accord ou non sur tel ou tel point : en maintenant l'état d'urgence sanitaire jusqu'au 31 juillet 2022, vous allez décider du fonctionnement de la société au-delà du mandat actuel de la majorité, ce que rien ne justifie.