Loïc Prud'homme :
Je conclus de votre absence de réponse, monsieur le secrétaire d'État, que les agents des forces de l'ordre qui procéderont à des contrôles sans passe vaccinal ni passe sanitaire mais munis de masques FFP2, sous réserve que vous leur en fournissiez – les fonctionnaires du commissariat du 7e arrondissement qui m'ont gentiment accueilli ce matin n'en avaient pas – ne diffusent pas le virus parce qu'ils respectent les gestes barrières. Cela prouve qu'il existe une autre solution, qui éviterait de tordre le bras à tout le monde pour que nous nous fassions tous vacciner, y compris en l'absence de comorbidité ou de rapport favorable avéré entre risque et bénéfice. C'est ce que je conclus de votre silence.