Monsieur le secrétaire d'État, la question de la vérification ou du contrôle d'identité n'est pas un détail. Je pense que vous commettez une triple faute.
Premièrement, au fur et à mesure de nos débats sur ce sujet, on voit bien que votre rédaction, qui n'a ni queue ni tête, ne sera absolument pas opérationnelle. Vous-même, monsieur le rapporteur, avez déclaré, à quelques minutes d'écart, qu'il n'y aurait pas de sanction puis qu'il y en aurait.