Le Président de la République réussit un deuxième coup : pointer du doigt les non-vaccinés, disant que tout est de leur faute, et faire en sorte que les Français d'en bas se déchirent. Comme à Calais, les gens regardent le statut vaccinal de leurs voisins, se contrôlent les uns les autres, s'accusent mutuellement. Quand on regarde ainsi la société d'en bas, on ne s'occupe plus de celle d'en haut.