Ayant écouté attentivement la rapporteure et le secrétaire d'État, je retire l'amendement n° 61 , mais je maintiens les trois précédents car ils apportent des précisions qui me semblent essentielles, surtout au regard des questions posées par les évolutions que vous défendez.
Pour m'éviter de revenir à chaque amendement sur le sujet, pouvez-vous, monsieur le secrétaire d'État, répondre aux réserves émises par le Conseil national de la protection de l'enfance, un organisme qui est tout de même placé auprès du Premier ministre et qui conseille le Gouvernement ? Nous reprenons ses réserves, mais jusqu'à présent, vos arguments n'y répondent pas.