Merci, monsieur le député. Mais au-delà de ce que l'on inscrit dans les textes – et qui est important, car la loi a aussi une portée symbolique –, ce qui compte c'est ce qui se passe en réalité. Mme la rapporteure l'a très bien rappelé, en mentionnant notamment l'accompagnement mis en place par les professionnels, quel que soit l'âge des candidats à l'adoption. Elle a également rappelé – tout comme Mme la députée Ménard – que la durée des procédures aboutira, in concreto, à ce que l'âge auquel les parents pourront effectivement adopter et la durée de leur vie commune soient plus élevés que ce qui est prévu par le texte. Afin d'être cohérent avec la position que j'avais défendue ici même puis au Sénat, je m'en remets à la sagesse de votre assemblée, comme je l'avais fait sur des amendements similaires, pour décider de qu'il est préférable de faire.