Vous m'interrogez sur la crise sanitaire. En premier lieu, vous avez raison de souligner que nous sommes dans un moment difficile, ne l'oublions jamais. Le variant omicron nous a posé de nouveaux problèmes, comme aux autres pays d'Europe. J'ai eu l'occasion de faire la chronologie de ce qui s'est passé. Vous savez que, depuis la semaine dernière, avec le Premier ministre et le ministre de la solidarité et de la santé, nous avons reçu les organisations syndicales. Les choses, loin d'empirer, sont en train de s'organiser, toujours plus et mieux, dans la difficulté, bien sûr, en France comme ailleurs, mais avec une chose que nous réussissons en France et qui est moins réussie ailleurs : la politique de l'école ouverte