Permettez-moi de vous répondre en trois points. D'abord, un point de méthode s'agissant du rapport Oxfam que vous avez cité : je regrette deux choses. La première, c'est que la présentation qui y est faite et que vous reprenez à votre compte confond la valorisation boursière d'un groupe et la fortune personnelle des dirigeants dudit groupe, alors que ces deux grandeurs ne sont pas comparables.