Surtout, le rapport, tel qu'il est présenté, présente un second biais méthodologique, puisqu'il s'appuie sur l'évolution de la valorisation boursière des entreprises entre les mois de mars 2020 et d'octobre 2021, c'est-à-dire entre le moment où la bourse était au plus bas – au début de la pandémie de covid-19 – et celui où elle était revenue au plus haut.
Je tiens à pointer une deuxième difficulté : les rapports successifs d'Oxfam ont aussi montré que la France fait partie des pays dans lesquels les mécanismes de redistribution sont les plus solides et permettent de réduire le plus fortement les inégalités.