Nous partageons tous le même constat, déplorons tous la situation et sommes tous conscients du péril et de l'urgence. C'est d'ailleurs ce constat qui a amené le Gouvernement à remplacer le numerus clausus par un numerus apertus, lequel devrait en théorie accroître le nombre de médecins formés dans un peu moins de dix ans. En revanche pour aujourd'hui, pour demain, pour l'année prochaine et même pour dans cinq ans… rien !