La question de l'attractivité est évidemment essentielle ; aujourd'hui, la rémunération des AESH les place en dessous du seuil de pauvreté, madame la secrétaire d'État. Il faut valoriser l'expérience et donner envie d'évoluer dans le métier. Ainsi, dès que possible, les AESH devraient pouvoir faire valoir leurs acquis et intégrer les formations aux métiers de l'enseignement, car les compétences développées auprès des enfants sont inestimables et doivent permettre d'entrevoir une évolution professionnelle pour ceux qui le souhaitent. J'ai pu défendre une telle proposition par amendement en commission, mais le même amendement a été déclaré irrecevable en séance publique.