J'ai entendu que ces débats n'avaient pas lieu d'être, que nous n'étions pas là pour comprendre ce que les personnes pouvaient ressentir. Mais oui, nous sommes là pour cela et c'est aussi pour cela que nous sommes législateurs. Nous le sommes car des personnes viennent nous voir dans nos permanences et nous racontent leur histoire : certaines nous amènent à nous dire, quand la porte se referme, que nous avons beaucoup de chance.
S'il vous plaît, nous pouvons essayer de prendre un peu de hauteur lors de l'examen de ce texte important, regardé par des milliers de Français.