L'article 1er prévoit que les établissements et services médico-sociaux feront bénéficier les personnes en situation de handicap et les personnes vulnérables et âgées de pratiques physiques et sportives, notamment grâce à un référent sportif dont le travail parlementaire a entériné l'existence. Il s'agit d'élargir le public susceptible de bénéficier d'une prescription d'activité physique adaptée, ainsi que d'ajouter de nouveaux prescripteurs.
Grâce aux enrichissements apportés au fur et à mesure de son examen, ici et au Sénat, le texte conforte le déploiement et les missions des maisons sport-santé. Enfin – ce devrait être une évidence pour chacun et chacune d'entre nous sur ces bancs –, il consacre l'égal accès aux sports, sans discrimination d'aucune nature.