Monsieur le ministre de l'Europe et des affaires étrangères, la commission des affaires étrangères vous entendra sur la crise ukrainienne à dix-sept heures trente. Cette réunion est ouverte à tous les collègues qui souhaiteraient y prendre part. C'est pourquoi je ne vous interrogerai pas ici sur une situation qui appelle un débat dépassant le format des questions au Gouvernement.
Je veux, en revanche, appeler votre attention sur l'odieuse répression qui frappe les opposants, les démocrates, les hommes et les femmes libres du Nicaragua, victimes de la vindicte furieuse de Daniel Ortega et de ses hommes de main.