Merci, monsieur le secrétaire d'État, pour la clarté de votre réponse. La France doit à présent faire entendre sa voix jusqu'aux États-Unis, pour leur faire comprendre que nous ne sommes pas d'accord avec les mesures qu'ils ont prises.
Je resterai vigilant, mais je me réjouis de voir, au moins dans votre réponse, la volonté du Gouvernement à refuser la marchandisation de cet espace si particulier et indispensable qu'est le net.