Monsieur le secrétaire d'État, je vous remercie pour cette réponse. Les élus du territoire restent mobilisés. Nous voyons bien que ces études sont essentielles, mais que la vraie question est celle de la budgétisation des travaux, qui ne sont pas encore inscrits au CPER. Nous ne voulons pas perdre un seul mois, une seule année : dans l'enchaînement du premier trimestre, l'arrêt d'un tronçon et les études relatives à la loi sur l'eau doivent nous permettre d'envisager une budgétisation dans le prochain contrat de plan État-région. C'est une question de sécurité, car ces travaux permettront d'éviter des accidents et de sauver des vies, mais c'est aussi une nécessité économique, pour soutenir ce territoire enclavé. Fabien Di Filippo et moi comptons sur vous et resterons vigilants.