à vivre la culture comme une expérience sensible.
Cette extension intervient au moment où, au-delà de la crise conjoncturelle à laquelle nous avons répondu ensemble sur tous les bancs de l'Assemblée nationale, émergent de façon accélérée de nouvelles pratiques et de nouveaux usages numériques qui charrient le risque d'un enfermement des consciences dans des algorithmes, dans des univers parallèles organisés et gouvernés par des entreprises extra-européennes. Ces risques, qui pourraient menacer les efforts menés depuis cinq ans pour l'émancipation et l'autonomie de chacune et de chacun, peuvent aussi se transformer en opportunité. Quels sont les grands leviers d'ores et déjà actionnés par le ministère de la culture pour répondre à ce défi ?