Pourquoi réactiver le DMP, en renouvelant les mêmes erreurs, la dépense étant évaluée à 2 milliards d'euros, avec les mêmes acteurs du numérique ?
Ce qu'il faut, c'est un DMP numérique simple, agile, sécurisé – donc non piratable –, utilisant les technologies de 2022 et respectant le secret médical. Ce qu'il faut, c'est utiliser l'intelligence artificielle et les supports individuels mobiles. Ce qu'il faut, c'est aussi une nouvelle carte Vitale, également non piratable, pourvue d'une carte mémoire de grande capacité, véritable trait d'union entre l'usager, les services de santé et l'assurance maladie, bref une carte capable d'absorber tous les documents médicaux. Or nous en sommes loin.
Ma question est donc la suivante : pourquoi faire l'impasse sur ce qui peut être opérationnel alors que nous avons cru à son démarrage en 2004, il y a dix-huit ans ?