Ils concernent tous en effet les zones blanches et les territoires où l'accès à l'internet et le réseau mobile sont quasi inexistants. Notre collègue Rabault partage d'ailleurs notre avis.
Il y a une dizaine de jours, le Gouvernement, l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes – l'ARCEP – et les opérateurs mobiles ont annoncé avoir trouvé un accord, jugé « historique » par les protagonistes, en vue d'accélérer la couverture numérique des territoires. Le président Macron a promis la fin des zones blanches pour 2020. Quant au secrétaire d'État, M. Julien Denormandie, il a annoncé : « Nous allons faire en trois ans ce que nous avons fait jusqu'ici en quinze ans. »