Je regrette vivement ces refus. Ce bel amendement soulève deux problèmes : la perte de contact, dans nos mairies, entre les citoyens et les représentants de la municipalité – aujourd'hui, le maire ne sait plus vraiment qui habite dans son ban communal – , et l'éloignement progressif des services publics, qui va grandissant. Cet amendement est l'occasion de rétablir un peu de proximité, et je vous invite, chers collègues qui connaissez ce problème sur vos territoires, à le soutenir malgré tout.