Chaque fois qu'on aborde un sujet important, vous décidez de botter en touche. Cette question peut gêner toute une série de multinationales, et pas uniquement du secteur de l'alimentation. C'est pourquoi je ne comprends absolument pas que vous la renvoyiez au texte à venir après les États généraux de l'alimentation. Certaines multinationales du bâtiment ou de l'automobile ne publient pas non plus leurs comptes ; la disposition doit donc entrer dans cette loi. D'ailleurs, elle ne figure pas dans le projet de loi relatif à l'alimentation ; inscrivons-la dans le texte aujourd'hui en débat en adoptant l'amendement de M. Ramos !