Mounir Mahjoubi, secrétaire d'état chargé du numérique :
Aujourd'hui, ce statut existe. Si vous estimez qu'il ne protège pas suffisamment les lanceurs d'alerte, il faudra l'évaluer. Je suis prêt à en discuter, mais je répète que la question excède le cadre du texte en discussion. Avis défavorable.