Le plan d'action pour le CETA constitue la première concrétisation de cette volonté forte et nouvelle de dialogue exigeant, à la fois dans sa substance et dans sa méthode. Sur la base d'un rapport d'experts indépendants, le Gouvernement a en effet pris le 25 octobre dernier une série d'engagements.
Ceux-ci ne viennent pas de nulle part. Ils répondent aux points de vigilance signalés par le rapport ; ils ont été définis après une période de consultation de la société civile et après une contribution des parlementaires de la majorité que je tiens ici à saluer de nouveau, parce qu'elle a été à la fois critique, exigeante et constructive.
Ce qui est fécond, dans cette majorité, c'est l'union de personnes dont les parcours sont différents. Nous travaillons, nous réussissons à transcender les clivages, nous avons l'ambition de trouver ensemble un chemin de crête. Il y a quelques années, Matthieu Orphelin et moi nous serions peut-être opposés sur un tel sujet !