Monsieur le président, madame la ministre, madame la présidente de la commission des lois, monsieur le rapporteur, chers collègues, après toutes ces prises de parole, il me sera difficile de ne pas répéter plus ou moins ce qui a été dit par les uns ou les autres. Je m'y efforcerai cependant et tâcherai de ne pas m'appesantir sur des textes dont vous avez déjà eu à connaître durant le débat, aujourd'hui ou lors de la réunion de la commission des lois la semaine dernière.
D'abord, quand la loi permet ou empêche déjà, pourquoi vouloir contraindre davantage ? Tout le monde, ici et ailleurs, est évidemment favorable, sur le fond, à un droit inaliénable à l'eau.