L'autre est que nous reconnaissons que nous avons en commun quelque chose qui ne saurait appartenir à l'un d'entre nous en particulier. Dès lors, l'intérêt général commande une attention collective à ce bien commun.
Pour aller plus loin, il faut bien comprendre le cycle de l'eau ; nous n'en avons pas assez parlé. Nous avons dit tout à l'heure qu'à 2 % de manque d'eau, on a soif, qu'à 10 %, on délire – certains débats ici manquent donc d'eau ! –