Je répète, après l'avoir dit en commission et dans mon propos liminaire, qu'il ne faut surtout pas opposer la loi Claeys-Leonetti et la présente proposition de loi, chacune ayant son importance. Les demandes répétées d'évaluation de la loi Claeys-Leonetti émanant des bancs de la majorité – y compris ceux du groupe MODEM – me laissent perplexe. Nous avons en effet examiné ce matin six amendements, dont la plupart avaient été déposés par des membres du groupe Les Républicains. J'ai émis un avis favorable sur les six.