… et c'est dans le même temps reconnaître que nous ne sommes pas tout puissants et accepter d'être aidé par d'autres. La vie humaine a une fin ; celle-ci doit être digne. Mais comment rester humain si nous ne pouvons exercer notre humanité ?
Oui, la personne âgée en fin de vie, le malade en phase terminale ou le jeune dépressif mal dans sa peau ont bien une place dans notre société – place ô combien importante, car tous ils permettent aux autres membres de la société d'exercer pleinement leur humanité. La souffrance doit être prise en considération, et tous les moyens mis en oeuvre pour la soulager. Non, je ne considère pas qu'être une charge pour ses enfants ou la société soit indigne.