À l'inverse, certaines affaires, comme celle de Notre-Dame-des-Landes, ont révélé l'existence des fameux zadistes issus de groupes très organisés, c'est-à-dire d'insurgés professionnels qui transforment des pans entiers de notre territoire en zones de non-droit et empêchent parfois notre pays de se doter d'équipements structurants.
Tout cela m'interroge. Je trouve qu'il y a deux poids deux mesures et qu'à l'avenir, il faudra réfléchir encore plus fermement à notre démocratie environnementale. Du chemin reste à parcourir pour trouver un équilibre entre la modernisation de notre pays et la préservation de ses intérêts stratégiques, en particulier en ce qui concerne l'énergie et la protection de l'environnement.