De deux choses l'une : soit vous faites preuve d'une extraordinaire mauvaise foi, soit vous changez de logique d'un amendement à l'autre ! Or je n'ose pas imaginer que vous puissiez être de mauvaise foi.
Le RGPD rend explicitement possible ce que nous proposons ; nous ne pouvons donc pas, ce faisant, aller à l'encontre de sa philosophie. Ce qui est en cause, c'est votre volonté, politique, de libéraliser à tout-va. Ne vous abritez pas derrière le règlement européen !
Enfin, je souligne que la Commission nationale consultative des droits de l'homme a estimé qu'il serait pertinent d'accorder aux données du domaine éducatif un statut spécifique.