Si nous ne sommes pas opposés à ce que les citoyens, les personnes physiques et morales concernées et requérantes ainsi que certains organismes privés spécifiques puissent mettre en place des traitements de données à caractère personnel relatives aux infractions, condamnations et mesures de sûreté, nous estimons toutefois que la mention « sous le contrôle de l'autorité publique » soulève un vrai problème.
En effet, par cette loi de transposition, le Gouvernement impulse une libéralisation du « fichage »…