Cela étant, les uns et les autres ont déclaré qu'ils avaient été globalement été entendus, avec l'intégration d'un certain nombre de délits. Mais le diable se cache dans les détails, comme l'a indiqué Mme Batho à propos du harcèlement sexuel.
Je devais défendre un amendement proposant de rendre inéligible toute personne infligeant des sévices et des cruautés aux animaux. Cela peut faire sourire mais je m'attendais à pouvoir défendre cet amendement, éventuellement transformé en sous-amendement – nous avions demandé une suspension de séance uniquement pour cela.
Je constate toutefois que le fait du prince, ou plutôt de la présidente, n'agit pas et que nous ne pouvons pas défendre ces sous-amendements. Ce petit jeu d'allers-retours fait tomber nos amendements. Je trouve cela dommage et, pour tout dire, mesquin.