Monsieur Larrivé, en affirmant que le nombre de groupes est une inconnue, vous vous faites l'écho de Mme Gourault. Or là n'est pas la question. Émettons l'hypothèse que le nombre de groupes reste constant, identique à ce qu'il est aujourd'hui : il suffirait de faire une projection et de voir si le dispositif proposé accentuerait les déséquilibres. Voilà qui serait simple à réaliser, et nous permettrait de nous faire une idée précise de l'impact dudit dispositif. Ce serait le minimum pour que nous puissions nous prononcer et voter en conscience !