Depuis nos territoires, nous remontent les difficultés rencontrées avec des logiciels comme Osiris – les aides européennes aux agriculteurs peuvent être versées avec deux ans de retard – ou Chorus – des personnels en mission ou des prestataires sont payés un ou deux mois après la fin de leur contrat. Dans le cadre de la nouvelle dynamique que nous évoquons aujourd'hui, serons-nous, un jour, en mesure de nous passer de ces outils et de fabriquer les nôtres ? C'est une question de souveraineté. Une volonté existe-t-elle en ce sens ? Avant que nous n'en arrivions là, à moyen terme, comment résoudre les problèmes posés par ces systèmes défaillants qui empoisonnent la vie de nos concitoyens ?