Je ne doute pas de l'existence de pistes d'amélioration locales : j'ai moi-même rencontré à deux reprises le directeur de l'hôpital de Denain. Mais je vous dirai, comme Pierre Reverdy, qu'il n'y a pas d'amour, il n'y a que des preuves d'amour ! Or, dans la réforme annoncée par la ministre, je ne les vois pas : pas de moyens supplémentaires, pas de considération particulière pour le personnel, dont la place est pourtant centrale, pas de réforme des urgences parmi les pistes présentées… Bref, nous sommes attentifs, mais sérieusement inquiets.