Monsieur le président de l'Assemblée nationale, monsieur le secrétaire d'État auprès du Premier ministre, porte-parole du Gouvernement, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, que faut-il penser de cette petite loi électorale ? Elle est, en vérité, monsieur le secrétaire d'État, tristement classique et très faiblement imaginative.
Voilà une nouvelle majorité, à peine arrivée au pouvoir, qui s'empresse de modifier le mode de scrutin de la prochaine élection, espérant en tirer avantage.