Si nous restons à 50 %, la part du nucléaire demeurera plus importante que dans de nombreux pays. L'expertise et le savoir-faire de la filière nucléaire ne vont donc pas s'éteindre demain. En outre, comme vous le savez, le démantèlement des réacteurs, à la différence d'une centrale à charbon, demande un certain temps. Il n'y a donc pas péril en la demeure s'agissant de la préservation des compétences.