Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d'état auprès du ministre de l'Europe et des affaires étrangères :
Pour nous, la réponse est négative, en ce sens qu'elle a porté préjudice au processus politique avant même qu'il ait commencé et a en quelque sorte renforcé l'asymétrie entre les parties en préemptant l'une des questions du statut final.