Madame Hennion, le danger d'éclatement est bien réel… Dès le 28 mars 2017, nous l'avons évoqué lorsque nous avons rencontré M. Barnier. La situation serait alors absolument cauchemardesque, avec vingt-sept accords bilatéraux entre la Grande-Bretagne et le reste de l'Europe et, en conséquence, des droits civiques, civils et politiques à vingt-sept vitesses ! C'est inimaginable : on ne peut pas être puni deux fois. Il n'y a d'ailleurs aucune raison pour que nous soyons punis car, avant tout accord économique, politique ou juridique, il s'agit, je le répète, de nos vies !