Il s'agit de faire face à une nécessité pour les personnes qui auraient recours à ce congé. Des associations de familles de personnes handicapées m'ont fait remarquer que la durée du congé leur semblait très insuffisante.
Dans l'absolu, je suis plutôt favorable à ce que l'on porte la durée du congé à trois ans, mais je crains que cela ne renforce les préventions qui ont été émises sur le coût de l'indemnisation du congé.
Toutefois, dans la mesure où l'article 1er n'a pas été adopté, j'émets un avis favorable à cet amendement. Je me réserve le droit de revoir cette position si, en séance, l'article 1er venait à être adopté.