Nous avons beaucoup parlé du manque de confiance et du sentiment d'exclusion, qui peut être parfois plus fort que l'exclusion elle-même. L'éveil au sensible, la pratique artistique dès le plus jeune âge, concourent à la confiance en soi, au développement des connaissances intellectuelles et sociales. Dans le cadre du plan « mercredi », comptez-vous réaffirmer cet axe fort ? Il s'agit d'intervenir dès le plus jeune âge pour réduire le plus tôt possible les inégalités et faire de l'éveil au sensible un préalable de l'apprentissage des fondamentaux.