Aujourd'hui, tout le combustible usé est entreposé soit dans les piscines de désactivation de chacun des 58 réacteurs, soit dans les piscines de La Hague – à une exception près, celle du combustible de Superphénix, qui est entreposé dans la piscine de Creys-Malville. Aucun combustible n'est donc entreposé à sec en France. En revanche, il existe des formes d'entreposage à sec des déchets vitrifiés, comme à La Hague. Ce n'est pas le même concept que celui qui pourrait être utilisé pour les combustibles, mais c'est tout de même un concept d'entreposage intrinsèquement plus robuste que l'entreposage en piscine.