Associé depuis le début à cette bataille, je me réjouis, comme vous tous, du vote qui sera le nôtre. J'espère qu'il pèsera in fine, car je crains beaucoup les intrigues de la Commission européenne et des lobbys de toute sorte, qui pourraient conduire à ce que la décision ne soit pas, en fin de compte, celle que nous espérons tous.
J'ai dit à mon collègue et désormais ami M. Son-Forget, rapporteur de cette proposition de résolution, combien je déplorais que nous n'ayons pas pu l'élaborer ensemble,