L'Union européenne a certes fixé des échéances, mais notre pays peut, doit même, les refuser et négocier une exception de service public. La voie du repli ferroviaire empruntée depuis quinze ans n'est pas une fatalité. La preuve : l'Allemagne mène une politique d'investissements de 28 milliards, quand vous, vous ne proposez que de réduire encore les coûts.