Soyez donc raisonnable : dites simplement que c'est parce que vous n'aimez pas Israël que ce projet de loi ne fait pas l'objet d'une procédure d'adoption simplifiée. Vous seriez venu le dire devant la commission, cela aurait été beaucoup plus vite, plutôt que de nous embourber dans un débat public qui n'avait pas lieu d'être – de toute façon, on sait bien que cela se fera, que cet accord, conclu avec une vraie démocratie parlementaire, sera ratifié.