Monsieur le président Chassaigne, je connais votre honnêteté intellectuelle. Ce n'est pas un abus de langage mais là, tout de même, venir regretter notre absence alors que, pour être membre de la commission de la défense, vous savez mieux que quiconque que celle-ci siège en ce moment même dans le cadre de l'examen prochain du projet de loi de programmation militaire et que d'autres commissions siègent aussi…