Je vous encourage à ne pas faire de cette journée une journée du dédain, de la procrastination – ce sera le 25 mars – , du « oui mais non », du bottage en touche, du « j'voudrais bien mais j'peux point » car je sais que nombre d'entre nous savent ces mesures nécessaires. Nous sommes ici pour faire la loi, c'est notre rôle en commun. Nous n'avons, pour la faire, à attendre l'autorisation de personne. Rares, trop rares, sont les espaces que la représentation nationale peut investir pour prendre l'initiative législative. Donnons à ces propositions le champ du débat et la chance de poursuivre leur cheminement législatif. Faisons preuve, ensemble, de cette modeste audace, ouvrons la porte à une avancée sociale attendue.